La vie devant soi

Momo se débat contre les six étages que Madame Rosa ne veut plus monter et contre la vie parce que « ça ne pardonne pas » et parce qu'il n'est « pas nécessaire d’avoir des raisons pour avoir peur ». Ainsi se noue une histoire d’un amour éternel entre ce jeune garçon arabe et cette très vieille femme juive.
Signé Ajar, ce roman reçut le prix Goncourt en 1975.



108 x 178 mm
Nombre de pages 288