«15 avril 1912, 2h20 du matin. Je suis sur le pont avec d'autres passagers. Personne ne parle. Les hommes ont le visage grave, une femme prie à voix basse. Le capitaine du Carpathia a posté des vigies à l'avant, avec mission de guetter les glaces à la dérive, ou le moindre signe du Titanic. Tout paraît tranquille, trop tranquille. Comment imaginer qu'à quelques milles d'ici un navire aussi énorme soit en perdition?»
En fin d'ouvrage, un supplément historique sur le naufrage du navire.