«C’est en deux hémisphères étrangement semblables à nos hémisphères cérébraux que s’ouvre la noix, si imbriquée dans ses propres circonvolutions que l’on peine à l’extraire de sa coque dure.
C’est tout un art – et une fierté – de réussir à détacher un cerneau entier dont le parallèle avec le cerveau protégé dans sa boîte crânienne ne fait que se confirmer. De là à dire que les noix sont bonnes pour le cerveau, il n’y a qu’un pas que l’on fait avec allégresse si l’on aime les noix.»