Les frites, je n’en faisais qu’à mes enfants: «Maman, ce sont les meilleures du monde.» Mon orgueil de mère était plus que flatté! Mais lorsque les sentiments s’en mêlent, où est la vérité? ...
Et un jour, un ami les goûte et en parle à un autre ami: Pierre Hermé, qui déclare à son tour : «Ce sont les meilleures du monde.» Alors là, j’étais très flattée! Pierre n’arrête pas d’en parler à d’autres amis qui viennent tous les goûter à la maison, ce qui me vaut de faire ce livre aujourd’hui.