L'histoire est racontée par les vainqueurs. C'est vrai à l'intérieur des sociétés. Les notables confisquent la parole, comme ils font de l'argent.
L'un d'eux, l'âge du siècle, raconte son siècle, côté château. Il a causé avec toutes les têtes d'affiche politico-culturelles : Staline, Hitler, Gide, Blum, Malraux, Drieu, Aragon, les «hussards», nos actuels dirigeants. Il a aussi couru le monde, et les femmes, intrépide à la mode 1930.
Il en conclut que le vieux parti de la conservation dans l'ordre et la spiritualité n'a jamais été aussi solide.
Mais est-ce bien lui qui a écrit cette légende? S'il avait eu recours à un «nègre», et que ce «nègre», deux fois floué, soit de ceux qui n'ont jamais eu la parole?
D'habitude, les pastiches ne visent qu'à ressembler. Ici, ils se fondent en roman et font voir ce qui, peut-être n'a pas été dit.