Chaque âme est singulière et secrète, si humble soit-elle, si simple que soit son secret.
L'auteur de Tite-le-Long ne s'est jamais proposé d'autre but que de découvrir la singularité d'une âme, son secret.
Pour lui la beauté n'est pas seulement dans la forme, mais dans le secret ; il n'y a pas chef-d'œuvre, s'il n'y a que forme, mais s'il y a secret.
Le roman et la nouvelle devraient être la biographie de l'Humble, de l'Anonyme.
Descendre jusqu'à l'âme, la lier, la nouer, lui dérober son secret ; c'est «une parole» qui est au centre d'elle-même, comme son soleil et construire un monde autour d'elle.