C’est une idée éditoriale contemporaine de l’écrivain pénitentiaire que de réunir ces textes, à laquelle Kafka opposa, en 1916, l’argument suivant : ils « formeraient une exécrable combinaison ; à la rigueur La Métamorphose pourrait leur servir d’intermédiaire, mais sans elle cela reviendrait vraiment à prendre deux têtes étrangères et à les cogner de force l’une contre l’autre ». Nous le prenons au mot et cognons ces deux récits, éclairés des œuvres postérieures, l’un contre l’autre.