«Jamais méchant ne saura gré à celui qui l’a obligé : il s’en moque, oublie aussitôt et serait même disposé à lui nuire et à le léser s'il avait un jour le dessus.»
Voici comment se termine Le prud’homme qui sauva son compère. Celui qui a été secouru ne serait donc pas reconnaissant à celui qui lui a fait du bien? La nature humaine est pleine d’imperfections, les fabliaux sont là pour en témoigner! Ces petites histoires mettent en lumière la gourmandise, la bêtise, la faiblesse… Et même si elles se terminent par une moralité, pour la morale, on repassera!
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