« Des coccinelles dans des noyaux de cerise, est un pur roman, un sommet d'humour noir, le portrait d'un tueur digne du Silence des agneaux mais brossé façon Tontons flingueurs. » Bernard Lehut, RTL« La confession violente et radicale d'un laissé-pour-compte du petit banditisme qui, nourrissant en lui la plus redoutable des vengeances, se livre à une effrayante apuration des comptes avec le monde et la société. » François Angelier, Mauvais genres« Nan Aurousseau est de retour avec un roman, dont le titre aussi poétique qu’énigmatique cache une réalité beaucoup plus noire. Avec sa langue imagée et sa gouaille qui rime avec canaille, il nous emmène dans la tête d’un tueur. » Jean-François Cadet, RFI« On pense parfois à Hubert Selby, dans sa manière d'écrire ces gens marginalisés, dans leur façon de s'exprimer, de se comporter, d'aimer, de vivre en se tuant à petit feu. On vire carrément dans le Bukowski quand le vrai visage de François se dévoile au fil des pages, emportant le lecteur dans un tourbillon jubilatoire pour certains, insoutenable pour d'autres. Ce sera pourtant déjà trop tard pour reculer. C'est François qui le dit : "Quand on a fait dans son froc, c'est trop tard pour serrer les fesses". » Dimitri L'hours, Le Télégramme