À la lisière des forêts, les souvenirs s'effacent. Anna mène l'enquête pendant trois jours et trois nuits. Il lui manque des heures de vie, de mort, de danse et de chant, des heures où les caresses sont tissées dans un velours carmin.
"Un polar surprenant mais intéressant, long monologue autour de la drogue du violeur." Alexandra Schwartzbrod, Libération « Depuis des années, Aurelien Masson nous a habitués à publier des textes à la limite du genre, toujours portes par une vraie écriture, une urgence, une poésie. Personne ne le saura est de ceux-là. A ne pas rater ! » Bruno Corty, Le Figaro