« Alain Blottière parvient à nous faire entrer dans la tête d’un ado qui a vécu l’indicible. Les bribes des mots qu’il délivre à son interlocuteur sont de la poésie, le récit qu’il confie au lecteur un douloureux secret. “Ils ne m’ont pas libéré, ils m’ont enchaîné par quelque chose d’invisible.” Un roman poignant, qui ne manque pas d’actualité. » Virginie Cresci, L’Obs. « L’épouvante parcourt ce beau roman, nous jetant au visage que nous, les gens “normaux”, ne comprenons rien, pas même l’enfant échappé de l’enfer. » Dominique Simonnot, Le Canard Enchaîné. « La fin du livre est impensable, sidérante. Révélatrice de la férocité sournoise des hommes, il ne faut pas la raconter. Mieux vaut se laisser porter par l'intensité mystérieuse du roman. » Muriel Mingau, La Montagne. « Dans un huis clos sobre et désarmant de sang-froid, on assiste fasciné à une joute verbale terrifiante où chaque réplique est une arme. C’est oppressant et troublant, car l’issue de la bataille reste incertaine. La fascination du mal est au cœur du récit, qui bouleverse par son réalisme. On le lit d’une traite comme on lirait un thriller. » Cécile Coulette, Librairie La Cour des grands.