Gallimard
Date de parution : 21/06/2018
Code SODIS :
G01388
ISBN :
9782072765223
108 x
178 mm
Genre littéraire :
Romans et récits
Vous vous réveillez dans un aéroport.
Vous ne savez pas qui vous êtes ni où vous allez.
Vous avez dans votre sac deux passeports et une lingette rince-doigts.
Vous portez un diadème scintillant et vous êtes maquillée comme une voiture volée.
Vous connaissez par cœur toutes les chansons d’Enrico Macias.
Vous êtes une fille rationnelle.
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- Citations de presse
«Un roman dense et dingue, loufoque et profond sur l’identité. 684 pages de bonheur !» Olivia de Lamberterie, Elle
«Aussi dense et drôle que surprenant et pertinent. Nina Yargekov ne manque ni de talent ni de peps.» Alexandre Fillon, Lire
«Un livre qui traite de l’immigration sans pathos et avec humour, par un écrivain qui ne va pas tarder à compter.» Nelly Kaprièlian, Les Inrocks
«Un mélange de Proust et Kafka, en y ajoutant l’humour d’une femme d’aujourd’hui.» Frédéric Beigbeder, Le Figaro littéraire
«Un roman ethnocomique sur le déni historique. Jubilatoire.» Eric Loret, Le Monde des Livres
«La dérision pour toute arme, Nina Yargekov part en guerre contre les clichés.» Laëtitia Favro, Le JDD
«Une franche rasade de vérité sous couvert de burlesque.» Geneviève Simon, La Libre Belgique
«Une allégorie vertigineuse sur l’identité.» Marianne Payot, L’Express
«Nina Yargekov : médaille d’or.» Claire Devarrieux, Libération
«Aussi dense et drôle que surprenant et pertinent. Nina Yargekov ne manque ni de talent ni de peps.» Alexandre Fillon, Lire
«Un livre qui traite de l’immigration sans pathos et avec humour, par un écrivain qui ne va pas tarder à compter.» Nelly Kaprièlian, Les Inrocks
«Un mélange de Proust et Kafka, en y ajoutant l’humour d’une femme d’aujourd’hui.» Frédéric Beigbeder, Le Figaro littéraire
«Un roman ethnocomique sur le déni historique. Jubilatoire.» Eric Loret, Le Monde des Livres
«La dérision pour toute arme, Nina Yargekov part en guerre contre les clichés.» Laëtitia Favro, Le JDD
«Une franche rasade de vérité sous couvert de burlesque.» Geneviève Simon, La Libre Belgique
«Une allégorie vertigineuse sur l’identité.» Marianne Payot, L’Express
«Nina Yargekov : médaille d’or.» Claire Devarrieux, Libération