«Je n'aurais quant à moi jamais pu écrire Paradis, Femmes, Portrait du Joueur, Le Cœur absolu, Les Folies Françaises, Le Secret, si je n'avais senti en permanence planer près de moi la main dégagée, active, cruelle et indulgente de Nietzsche. Permission de négliger la propagande nihiliste et sa culpabilisation maniaque, de même que la mauvaise humeur déclenchée par celui qui s'obstine à suivre son bon plaisir…»