« Philippe Sollers fait tomber le masque. C’est incandescent, parce qu'il y a toujours cette même fougue, il y a quelque chose de dénoué, de conciliant, de doux. » Patricia Martin, Le Masque et la plume « L’ensemble étincelle. Le joyeux Sollers, anti-Houellebecq absolu, flotte et ne sombre pas. Au contraire, il resplendit. » Jean-Paul Enthoven, Le Point « Comme d’habitude, Sollers ne tient pas en place. Avec son agilité habituelle, il jongle avec les époques, va de Joyce à Karl Marx, de Yeats à Gide, et de Hemingway à André Breton, de Melville à Céline. » Bernard Pivot, Le JDD « Le texte va à la dérive comme un bateau. Et c'est magnifique parce que ça reste, malgré tout, tenu. » Arnaud Viviant, Le Masque et la plume « Sollers tient bon le gouvernail, analyse le sale et bel aujourd’hui pourri de mensonges. » Anthony Palou, Le Figaro littéraire