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Gallimard Date de parution : 01/02/2018 Code SODIS : G01333 ISBN : 9782072762581 108 x 178 mm
Couverture Les deux pigeons ()
Prix : 8.5 € 272 pages
Les deux pigeons

De : Alexandre Postel
Folio - N° 6437
Genre littéraire : Romans et récits

«"Ton père et moi, on se connaissait à peine depuis trois mois qu’il me demandait en mariage."
Cela semblait à Dorothée une excellente raison pour ne pas se hâter.»

Théodore et Dorothée s’aiment d’amour tendre. Cela ne les empêche pas de s'interroger : comment se divertir? Se nourrir? Que faire de ces deux corps? À quoi se consacrer? Faut-il fonder une famille, travailler, s'indigner? Comment font les autres? Autant de questions qui surgissent au fil de cette odyssée des manières de vivre.

« Alexandre Postel mérite d’être le seul auteur au monde dont tous les livres seront primés. Il vient d’écrire Les Choses des années 2000. » Frédéric Beigbeder, Le Figaro magazine. « Avec une ironie cruellement affectueuse et des chapitres thématiques qui s’enchaînent, son excellent roman aborde tout ce qui fait du pari conjugal une des grandes aventures contemporaines. C’est souvent très drôle, parfois un peu mécanique, toujours finement observé. » Grégoire Leménager, L’Obs. « Postel change de ton pour ce troisième livre, sans renoncer à la sobriété et à l’élégance qui font sa signature, autopsiant au scalpel une génération captive des diktats sociaux. Mais avec un tel art que le cynisme de sa peinture d’êtres fragiles, inquiets, perdus, le cède à une ironie complice plus humaine. » Philippe-Jean Catinchi, Le Monde des Livres. « Drôle, critique, documenté, bien écrit. Un merveilleux satiriste. » Vincent Roy, Transfuge. « Cette radiographie d’un couple se double d’une ironie très fine, dont l’arrière-goût amer se rappelle à chaque page. » Clara Dupont-Monod, Le Parisien. « Savoureux. Jouissif même, tant sont flagrants l’humour et la connaissance de la vie de ce pourtant jeune auteur. Il pointe avec justesse les petites choses du quotidien et les grandes lignes que finissent par suivre nos existences sans même qu’on s’en aperçoive. À l’évidence, un des meilleurs romans de cette rentrée. » Gilles Chenaille, Marie Claire.