« Un poème de 200 pages qui ressemble à un roman noir et fracasse tout sur son passage. Un suspense implacable ! » François Busnel, La Grande Librairie « Marlène, aussi fort que 37°2 [le matin]. Djian esquisse l’un de ses personnages les plus troublants. » Pierre Vavasseur, Le Parisien « Diablement efficace. L’on suit avec angoisse les tentatives désespérées de Dan et Marlène, les plus attachants de ses antihéros, pour retrouver une certaine normalité. » Marianne Payot, L’Express « Bien ancré dans le réel, sexy, politique et névrosé, Marlène est magistralement tricoté. » Marguerite Baux, Elle « Philippe Djian continue de nous surprendre, nous bousculer, nous éblouir avec ses audaces stylistiques toujours plus décoiffantes et parfaitement maîtrisées. » Nathalie Crom, Télérama « Djian se pose en écrivain féministe, met en place des héroïnes complexes quand les hommes alentours sont démunis et embourbés. » Sylvie Tanette, Les Inrockuptibles « Comme dans « Oh… », on sent que la situation peut basculer d’une seconde à l’autre. Qui peut battre Djian sur ce terrain ? » Didier Jacob, L’Obs « Par son sens de l’ellipse et son style de plus en plus acéré, l’auteur donne à nouveau un intrigant portrait de femme fatale. » Thierry Gandillot, Les Echos