Paru en 1857, ce chef-d'œuvre inégalé aux yeux de Nietzsche, de Hofmannsthal, de Milan Kundera ou de Peter Handke est traduit pour la première fois en français.
Dernier des grands «romans d'éducation» classiques, L'arrière-saison poursuit un idéal esthétique et moral d'une extrême ambition, et ce dans une prose allemande d'une pureté incomparable.