«Je n'ai jamais connu personne qui, autant que Marc Bernard, eût le travail en horreur. Il suffisait que l'on en proposât un à cet homme si bon pour qu'une lueur mauvaise s'allumât dans ses yeux bleus. Une fois pour toutes, entre le travail et la pauvreté, il avait choisi. C'est pourquoi le lecteur qui ouvre le présent recueil, Vacances, ne doit pas se laisser abuser par le titre. Venant de celui qui tenait si farouchement le travail à distance, il n'est pas possible qu'il s'agisse de congés payés, et pas davantage de Club Méditerranée. Vacances, malgré son titre, n'est pas fait de pages heureuses, de souvenirs ensoleillés. Marc appelle vacances les moments privilégiés où il s'est vraiment senti libre.»
Roger Grenier.