«J'avais rencontré la jeune femme par hasard et après quelques verres on s'était retrouvés dans une chambre en forme de cube aux murs faits de miroirs, le plafond aussi : un dé géant en miroirs, et comme j'avais bu j'ai eu l'impression à un moment que le dé commençait à rouler.
Sa robe tomba tout de suite et elle fut à quatre pattes sur le tapis, en dessous chics. Et elle déclara sur un ton naturel : "Je suis un cheval!" Cette information éveilla mon intérêt (après tout, je suis un grand fan de l'inconsistance humaine), mais me laissa désemparé (devrais-je dire désarçonné?) quant à la marche à suivre... Sur l'instant j'ai pensé : "Me voilà dans un dé avec une centaure." Je suis si romanesque!»