Il y a deux sortes de révolutionnaires. Ceux qui se planquent toujours et ceux qui claquent les dividendes de leurs engagements en s'efforçant d'oublier le passé. Amigo fait partie des premiers mais quand on lui supprime sa rente et qu'on lui envoie un tueur, il revient à Hambourg pour rappeler aux anciens camarades que le pouvoir est encore au bout du fusil.