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W.A.R.P.
Gallimard Jeunesse
Date de parution : 09/01/2014
Code SODIS :
A65658
ISBN :
9782070656585
155 x
225 mm
W.A.R.P.
1 - L'assassin malgré luiDe : Eoin Colfer
Traduit (anglais) par Jean-François Ménard
Grand format littérature
Romans Ado
Âge de lecture : à partir de
12 ans
Genre littéraire :
Romans et récits Jeunesse
Thèmes :
Aventure - Fantastique - Suspense - Voyage dans le temps
Riley, un orphelin de l'époque victorienne, se retrouve projeté dans le XXIe siècle, bientôt suivi par son maître, le diabolique Albert Garrick, illusionniste et tueur à gages, lancé sur ses traces et celles de Chevie Savano, la plus jeune et la plus intrépide des agents du FBI.
Une hallucinante course-poursuite à travers le temps. Riley et Chevie sortiront-ils vivants de cette traque implacable? Pourront-ils empêcher le redoutable Garrick de s'approprier les clés du programme W.A.R.P. et de changer le cours de l'Histoire?
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- Citations de presse
«Une nouvelle série qui décoiffe! Humour garanti!» (Je Bouquine).
«Une aventure rocambolesque et survitaminée» (Le Figaro Magazine).
«Quand Chevie, une apprentie agente du FBI du 21 e siècle, mène l'enquête avec Riley, une "racaille" de 1898, ça swingue!» (Le Monde des ados).
«Entre rencontres et rebondissements, ce roman dynamique entraîne ses héros au cœur d'une aventure qui n'accorde aucun répit» (Page des libraires).
«L'action est riche en rebondissements, l'humour vient, notamment, du hiatus entre les préjugés des deux époques, les héros sont sympathiques et les truands évoquent ceux de Dickens» (Arple).
«Une aventure rocambolesque et survitaminée» (Le Figaro Magazine).
«Quand Chevie, une apprentie agente du FBI du 21 e siècle, mène l'enquête avec Riley, une "racaille" de 1898, ça swingue!» (Le Monde des ados).
«Entre rencontres et rebondissements, ce roman dynamique entraîne ses héros au cœur d'une aventure qui n'accorde aucun répit» (Page des libraires).
«L'action est riche en rebondissements, l'humour vient, notamment, du hiatus entre les préjugés des deux époques, les héros sont sympathiques et les truands évoquent ceux de Dickens» (Arple).