«Flanagan est de retour, toujours prêt à démêler de multiples intrigues au risque de se retrouver dans des situations inextricables, avec comme toile de fond la ville de Barcelone et sa réalité sociale. Une écriture au style enlevé fait s'enchaîner les événements sans jamais laisser de répit au lecteur… pour son plus grand plaisir!» ("La Revue des livres pour enfants").
«Le rythme trépidant, l'humour du jeune narrateur qui ne se prend jamais au sérieux, le suspense toujours présent rendent ce polar noir irrésistible» ("Inter CDI").
Ce qu'a pensé la presse des précédents titres de la série des Flanagan :
«C'est vif, bien ficelé, bien écrit. Parfait… même pour les adultes!» ("Télérama").
«Le jeune Flanagan revient avec son humour, son charme et son goût inné pour les situations invraisemblables… Super!» ("Modes & travaux").
«Andreu MartÍn, l'auteur de policiers pour adultes, plus noirs que noirs, pouvait-il écrire aussi pour des jeunes? Eh bien, sans doute sa collaboration avec Jaume Ribera rend-elle la chose possible. Et quel régal! Dans la meilleure tradition du polar noir» ("Lire au collège").
«Le + : un ryhme d'enfer, de l'humour et de l'action à chaque page» ("Okapi").
«Une intrigue rigoureuse dont le rythme ne faiblit jamais, un style accrocheur sans complaisance, un ton plein d'humour… Un vrai régal» ("La revue des livres pour enfants").
«Voilà un polar rudement bien écrit, dans un style alerte et ironique. L'intrigue qui se déroule à Barcelone nous tient en haleine jusqu'au bout. Les personnages sont tellement attachants qu'on est ravi d'apprendre que les autres aventures de Flanagan vont être prochainement rééditées» ("La Croix").
«Dans la plus pure tradition du roman noir américain à la manière de Chandler, un héros courageux sans être téméraire et plus futé que la police. Des personnages secondaires pittoresques, un rythme soutenu et un humour caustique» ("Livres Jeunes Aujourd'hui").
«Avec beaucoup d'humour et un ton qui ne se prend jamais au sérieux, les auteurs rassemblent tous les clichés des romans noirs… Ils nous offrent une enquête menée tambour battant et dénoncent au passage certains abus de pouvoir. Rien ne manque pour notre plus grand plaisir» ("Opalivres", Transat F.M.).
«À lire… Un polar pour ados et pas à l'eau de rose» ("La Provence").