«Je m'appelle jean ristat un poète fantôme
Au long manteau noir où saigne l'écharpe rouge
On me prend pour un autre aristide
Bruand ou dieu sait qui dans un clandé à times
Square ou seul sur un banc madison avenue
L'épaule d'un rêve m'a frôlé un jeune homme
Au bonnet pourpre et la main gainée de cuir
Ô vaincu de la mémoire Ô narcisse dans
Une venise inverse si loin du palais
Mocenigo et des orgies de byron»
Jean Ristat