«C’était un rude voyage et bien périlleux qu’elle entreprenait. Tout le pays était couru par les hommes d’armes des deux partis. Il n’y avait plus ni route, ni pont ; les rivières étaient grosses ; c’était au mois de février 1429. S’en aller ainsi avec cinq ou six hommes d’armes, il y
avait de quoi faire trembler une fille.»
De l’enfance paysanne aux flammes du bûcher, Jules Michelet retrace le destin de la «Pucelle d’Orléans».