Accueil > Ouvrages > Gallimard > Folio > Jours de pouvoir
Gallimard Date de parution : 09/01/2014 Code SODIS : A45614 ISBN : 9782070456147 108 x 178 mm
Couverture Jours de pouvoir ()
Prix : 9.9 € 528 pages
Jours de pouvoir

De : Bruno Le Maire
Folio - N° 5695
Genre littéraire : Mémoires et autobiographies

De 2010 à 2012, Bruno Le Maire est ministre de l'Agriculture dans le gouvernement de François Fillon. Jour après jour, il sillonne la France, rencontre un monde rural en crise, cherche des solutions. Il multiplie aussi les négociations européennes. Enfin il parcourt la planète pour préparer le G20 agricole. Ces déplacements multiples lui donnent une vision nouvelle des rapports de forces internationaux et de la place du pouvoir politique.
À mesure que le scrutin de mai 2012 se rapproche, le portrait de Nicolas Sarkozy se fait plus intime, plus précis, il révèle un homme inconnu du grand public, confronté aux contraintes de la réalité. Dans un contexte globalisé, que peut changer le président de la République? Quel est son pouvoir? Quelles sont ses marges de manœuvre? Ce sont toutes ces vérités que Bruno Le Maire nous montre de manière saisissante. Son regard singulier nous fait découvrir un monde politique différent et neuf.

L'ex-ministre Bruno Le Maire joue les Saint-Simon sous Sarkozy. Un roman du pouvoir grave et convaincant, où l'ardeur et la conviction le disputent à une discrète mélancolie. Nathalie Crom. Télérama. Disons-le, la force du livre de Bruno Le Maire tient d'abord et avant tout à ce portrait-là. L'oeil aigu que l'auteur, infiniment plus sage et conformiste que son personnage, pose sur lui. Tour à tour trivial, touchant, courageux ou groteste, Nicolas Sakozy compose un premier rôle formidable. Raphaëlle Bacqué. Le Monde des Livres. Bruno Le Maire livre une plongée passionnante dans le bain de la politique. Cécile Cornudet. Les Echos. M. Le Maire est un véritable écrivain. FR. Le Nouvel Observateur. Il a le goût de la fresque et le sens du détail, relevés par cette pointe de méchanceté et d'autodérision. François Bazin. Le Nouvel Observateur.