Elle est grosse, très grosse, elle aime le chocolat, les films de Fellini, la philosophie. Sans doute aimerait-elle aussi l'amour et le sexe, mais, de ce côté-là, Apolline vit plutôt dans la misère affective et l'attente du bonheur.
Apolline a une mère, vieille dame tyrannique, avec qui elle entretient des rapports passionnels.
Avec son physique et sa volumineuse chevelure noire, Apolline ne passe jamais inaperçue. L'occasion va lui être enfin donnée de régler ses comptes avec l'existence - avec les autres, mais aussi avec elle-même - et de se libérer de tout ce qui l'accable depuis l'enfance.
Un mélange de gravité et de cocasserie, de moments dominés par la raison et d'autres parfaitement délirants.