« Au gré des ombres et lumières de ce récit, la disparue apparaît dans le reflet d’un rétroviseur, d’une flaque d’eau, d’une vitrine. Savannah est le bouleversant reflet de Kate dans l’œil de Jean Rolin. » Olivia de Lamberterie, Elle. « Le projet de Jean Rolin s'offre d'emblée, non comme une quête, mais plutôt comme un rituel de deuil et de fidélité, une sorte de liturgie profane. » Nathalie Crom, Télérama. « La plume toujours aussi poétique, caustique et juste de Rolin, est apte à enchanter le moindre terrain vague et à rendre captivante n'importe quelle friche portuaire. » Marianne Payot, L’Express. « Rolin dit son chagrin de manière détournée, relisant la correspondante de Flannery O’Connor dans une “ chambre inutilement vaste ”. La nuit, au flanc d’une autoroute, il se décrit en piètre piéton de l’Amérique. » Marie Chaudey, La Vie.