Au moment où s'élèvent si nombreuses les voix chagrines déplorant que «le progrès soit en crise», que «l'avenir s'efface» - et cela peut certes se fonder sur bien des aspects sinistres du XX<sup>e</sup> siècle -, Victor Hugo nous invite, au nom même de l'idée qu'il se fait de la République française ou universelle, à retrouver le courage de croire à la possibilité de plus d'harmonie sur cette terre : un message dont Jean-Noël Jeanneney nous rappelle ici l'éclat, la vigueur et la pérennité.