«Je mords parce que le mot chien ne mord pas
je mords pour creuser dans l'épaisseur présente
pour prendre ta chaleur et ta saveur je mords
téteur inachevé qui s'attaque
à l'impossible d'être toi et qui s'acharne
à tenir dans le temps par colère et manger
et pour arrêter ce parfum toi qui est voyage
impatient qui sent le gouffre au cœur de la douceur.»
Ludovic Janvier.