« Cette femme – je ne sais si je pourrai vous décrire cela – m’excitait, me provoquait, depuis l’instant où elle était entrée en faisant celle qui passait par là ; par son orgueil elle suscitait ma résistance, elle excitait tout – comment dire –, elle excitait tout ce qu’il y avait chez moi de réprimé, tout ce qu’il y avait de dissimulé et de mauvais, à contre-attaquer. »
En exhibant toutes les pulsions d’ordinaire refoulées, Zweig dénonce le moralisme qui asservit les hommes comme les femmes.