« Qui étais-je encore pour mes filles, certes tendres envers moi, mais déjà sorcières si accomplies qu’elles ne pouvaient certainement s’empêcher de ressentir, envers leur mère peu douée, une sorte d’indifférence condescendante ? »
Lucie n’est pas une sorcière talentueuse. Ses deux filles, elles, se révèlent extrêmement habiles, au-delà des prétentions et des espoirs de Lucie qui n’aspirait qu’à en faire des sorcières efficaces. Quant à la mère de Lucie, son génie est absolu.